Trouvé dans une vieille église de Baltimore en 1692, auteur inconnu…

Chaque année en janvier, j’ai envie de faire preuve d’originalité à l’occasion des vœux. Mais à chaque fois, j’ai beau me triturer la cervelle, j’en reviens toujours à ce qui me semble essentiel : la santé et le bonheur. Si on a la chance de posséder les deux, que peut-on espérer de plus ?

J’aime l’idée que l’on peut agir sur l’un et sur l’autre. En ce qui concerne la santé, c’est l’objet même d’Herbagaia, que de partager avec vous tous les bienfaits que la nature nous offre.

A propos du bonheur… 

Le bonheur est une notion à la fois vague et subjective. Pour certains, il ressemble à un parfum réconfortant ou à un rêve d’enfant. Pour d’autres, il se cache dans les choses simples de la vie et survient souvent au moment où on s’y attend le moins.

On dit de lui qu’il ne faut pas le chercher pour le trouver mais qu’il faut le cultiver. En fait, chacun possède sa propre définition du bonheur, son propre chemin pour y accéder.

Mais comment trouver ce chemin ?

A ce sujet, je trouve que certains écrits sont très inspirants. C’est le cas de ce texte, dont l’histoire raconte qu’il a été écrit par un auteur inconnu et découvert dans une vieille église de Baltimore en 1692. Légende ou pas ? Peu importe, si les mots nous permettent d’entrevoir le chemin…

Si c’est le cas pour vous, pensez à partager ce texte 🙂

auteur inconnu église Baltimore

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