Il y a des nuits où l’on se sent prisonnier de son propre lit. Les yeux grands ouverts, à fixer le plafond dans l’espoir que le sommeil finira par venir. Des nuits trop courtes, trop hachées, ou simplement peu réparatrices. Et au matin, cette sensation de brouillard, de lourdeur, de fatigue que même trois cafés …